HIX SPORT escribió:
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> Issue____________: *** HIX SPORT 1526 ***
> Date_____________: Tue May 30 20:30:49 EDT 2000
> Publisher________: Hollosi Information eXchange /HIX/ http://hix.com
> Disclaimer_______: Authors bear full responsibility for their articles.
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> Hozzaszolas______: >
Kedves Sport, A jovo evszazad focijarol egy tanulmanyom franciaul. Ha l
e
tudjatok forditani,
akkor kozolhetitek. Elkuldhetem spanyolul is.
DSyF
Le Football du 21-ème Siècle.
Dennis Sugar y Frank.
L’humanité a joué avec un ballon depuis des siècles. D’abord ce n’est qu’un
amusement à l’air libre, puis lentement le jeu est devenu un sport. Dès le sièc
le
dernière il est reconnu comme une institution sportive organisée avec ces
régles. Au tournant du 20-ème siècle, il est arrivé à une popularité qui le fît
le plus répandu de tous les sports.
Les deux guerres mondiales ont mis une halte à son développement,
comme dans toutes les autres activités humaines. Mais après les guerres,un élan
nouveau se produisait et le sport est devenu un art. Les Péle, Maradona, Di
Stefano, Puskas et consorts ont produits un football qui a emu les dizaines de
milles spectateurs. Les joueurs sont devenus des artistes du ballon. Puis ave
c
l’invention et le développement du radio et la télévision, le nombre des
visiteurs des stades se multipliait, ils sont devenus de centaines de million
s
d’auditeurs et spectateurs.
Le football en devenant un art est devenu aussi une activité économique.
D’abords des millions, puis des milliards de francs ont
circulés, les meilleurs joeurs sont devenue millionaires, les propriétaires de
s
clubs sont des milliardaires. Il est un des le plus important support de la
publicité à côté des femmes nues. En déefinitive, à la fin du 20-ème siècle,
le football a changé son caractère de nouveau. D’un art et affaire il va
devenir une science et affaire internationale de première importance.
L’affaire – l’argent – étant le plus important mobile ,il ne pouvait plus rest
er
un art avec son tendence vers la bohémie, il doit se transformer en une science
rigoureuse.
La base de toutes les sciences est les mathématiques - la où il n’y a pas de
math, il n’y a pas science . C’est avec l’aide des calcules, que le fooball ser
a
une vraie science.Une preuve del’application des math au football est le
statistique des corners et des penalities..
Lors l’exécution d’un corner, en moyen il y a six à huit joueurs défensifs
et
quatre-cinq joueurs attaquant l’intérieur de l’airede seize metres, en plus
l’attaquant qui exécute le tire du corner et 1-2 attaquants entre 20 à 30
mètres du but.
Les statistiques provenantes de la 2-ème division en la saison1998/99
fournissent les chiffres suivants quant à la destination du ballon:
derrière le but 7
aire de 6 m. 22
dans les mains du portier 13
aire de 16 m. 27
au-delà de l‘aire de l6 m 23
près du corner ,(courte passe) 8, -- total 100.
Les résultats des 100 corners sont 6 buts et 94 liberations, dont
8
se sont transformées en contreattaque, terminant avec de 2 buts.
La scientifique conséquence de ces chiffres monte clairement qu’un
attaquant doit se placer à l’autre côté de l’aire de 16 m. pour cueille
r
les 23 ballons arrivant là-bas, soit directement ou par l’intervention de
s
défenseurs. Actuellement ces 23 corners sont perdus aux attaquants.
A notre avis la meilleure distribution des joueurs attaquants serait: en
plus du tire du corner, un-un attaquant aux deux coins de l’aire de 16 m.
,
un attaquant aux environs de 11m, trois attaquant dans l’aire de 6 m. et deux
autres joueurs de 20 à 30 mètres du but, entre la ligne de 16 m. et la lign
e
diviseure du terrain. Le corner se tire vers le coin proche, dont le joueur
s
passe le ballon soit au joueur de l’autre coin, soit au joueur de 11 mètres
,
éventuellement tire au but Dans le premier cas, la direction du ballon soit ve
rs
le joueur de 11 mètres, soit aux deux joueurs qui se trouvent à
l’intérieur de l’aire de 6 mètres, ou directement le tir au but.
Ces statistiques n’ont pas une valeur absolue, chaque entraineur doit établir
lui-même les statistiques concernant la Division de son équipe, et avant
chaque rencontre les statistiques concernant l’équipe adversaire, pour se
rendre compte quel étaient les résultats des corners que l’adversaire a tir
é
aux autres équipes et les autres équipes ont tiré contre l’adversaire. Ses
propres statistiques pourraient bien faciliter son stratégie et tactique.
Une autre application des mathématiques aux jeux, serait lors le tir des
penalities. Il arrivent souvent, que soit pendant les 90 minutes réglementaire
,
soit pendant les prolongations, le tire des penalities décide la victoire. Da
ns
ce dernier cas, il suffit souvent que le portier arrète un seul des cinque
penalities tirées, pour obtenir la victoire.
Un tire de penalitie peut avoir trois résultats: (1) le but, (2) l’erre
ur
du tireur hors du carde de but, soit à côté, soit au-dessus, (3) l’arrêt du
portier. Une statistique donne les chiffres suivantes: (1) 82%, (2) 7% et (3)
11%. De nouveau, avant chaque rencontre l’entreneur doit établir les
statistiques de
son équipe et celles de son advairsaire. Dans ces statistiques doit figurer un
e
subdivison des statistiques du (1), soit l’analyse des 82% des buts
réussits. Le ballon peut pénetrer à côté gauche, à droit ou au millieu
,
au ras de terre, à
mi-hauteur ou dans le cadre supérieur du but.. Le portier ne peut pas et
ne doit pas garder le but entier. L’aire du but doit être diviser en deux.
Le portier doit se mettre naturellement au millieu de son but, peut-être 50
cm. à droit ou à gauche. Les cinq penalities seront défendues toujours
seulement d’une côté, selon les statistiques. Le portier doit se tirer
toujours vers la gauche ou vers le droit, suivant l‘instruction de
l’entreneur. Selon les probabilités, au moins une, peut-être deux penaliti
es
seront tirées de ce côté, L’arréter ou les arréter: c’est gagner le
rencontre et peut-être un championnat.
Il faut appliquer ces régles au moins pendant 20-25 matches - une
demie-saison - pour en tirer les conséquences. Une autre occasion, nous
revenons peut-être à d’autres applications des math au football.
Tomás y Dennis.
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caractère avec espace 3
36
paragraphes
109 lignes
3 pages.
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